Signes avant-coureurs d’une fracture de fragilisation
(femmes ménopausées, hommes âgés de 50 à 64 ans*)
- Douleur chronique1
- Mobilité réduite
- Les fractures de fragilisation ont eu des effets négatifs à long terme sur la capacité des patients à se déplacer de façon autonome après une fracture2†.
- Réduction de la taille1
- Environ 36 % des hommes et des femmes atteints de la forme la plus grave de cyphose ont des fractures vertébrales sous-jacentes3‡
- – Évaluation d’une fracture vertébrale — Une fracture incidente peut être diagnostiquée si la hauteur du corps vertébral antérieur, central ou postérieur a diminué de plus de 20 % et d’au moins 4 mm, comparativement aux résultats d’imagerie précédents4§
- Environ 36 % des hommes et des femmes atteints de la forme la plus grave de cyphose ont des fractures vertébrales sous-jacentes3‡
- Incapacité1
L’étude multicentrique canadienne sur l’ostéoporose (étude CaMos) une étude prospective de 10 ans comportait une cohorte de patients atteints d’ostéoporose. Le score HUI (health utilities index) a été utilisé dès le début de l’étude. Les données ont montré que la mobilité était grandement réduite après une fracture de la hanche chez les hommes : score HUI2 = -0,20 du début de l’étude (0,981 [0,08]) à l’année 52†.
Facteurs de risque cliniques de fractures de fragilisation
(femmes ménopausées, hommes âgées de 50 à 64 ans*)
- Antécédents personnels de fracture de fragilisation après l’âge de 40 ans5
- Une fracture antérieure désigne, plus précisément, une fracture antérieure survenue spontanément à l’âge adulte ou une fracture causée par un traumatisme qui n’aurait pas entraîné une fracture chez une personne en bonne santé6
- Fracture de la hanche chez un parent5
- Tabagisme actif5
- Utilisation prolongée de glucocorticoïdes5¶
- Polyarthrite rhumatoïde5
- Diagnostic d’ostéoporose primaire ou secondaire (le patient est atteint d’un trouble fortement associé à l’ostéoporose tel que le diabète de type 1 [insulinodépendant]; une fragilité osseuse chez l’adulte; une hyperthyroïdie, un hypogonadisme ou une ménopause prématurée [avant l’âge de 45 ans] de longue date non traités; une malnutrition chronique ou des troubles de malabsorption, et une hépatopathie chronique)5,6
- Utilisation d’autres médicaments à risque élevé5**
- Fracture vertébrale ou ostéopénie confirmée par radiographie
- Consommation excessive d’alcool (3 unités par jour ou plus)5,6
- Faible poids corporel (< 60 kg) ou perte de poids importante (> 10 % du poids à 25 ans)5
La survenue d’une fracture est l’un des plus importants facteurs de risque de survenue d’une deuxième fracture7
Risque de survenue d’une autre fracture dans l’année qui suit :
Après une fracture vertébrale :
risque de 20 %7
Après une fracture de la hanche :
risque de 5 % à 10 %7
Risque imminent de fracture
Il a été signalé que la majorité des fractures de fragilisation subséquentes avaient tendance à survenir au cours des 2 premières années suivant une fracture incidente8.
16 %
après une fracture de la hanche††
(première fracture n = 31 613)
20 %
après une fracture de l’avant-bras
(radius ou cubitus)††
(première fracture n = 4 828)
19 %
après une fracture de l’humérus††
(première fracture n = 13 237)