Crise osseuse et crise cardiaque
Le rapport de l’ASPC qualifie la fracture de fragilisation ostéoporotique de crise osseuse2.
Pensez à utiliser un terme que vos patients comprennent
La formulation crise osseuse serait, selon certains, un choix plus judicieux que le terme médical fracture de fragilisation ostéoporotique, car il peut faciliter la communication et la compréhension chez les patients1.
Dans votre pratique quotidienne, vos consultations avec vos patients sur les objectifs et les bienfaits d’un plan de soins de santé osseuse peuvent vous sembler difficiles.
Cette situation est attribuable, en partie, au fait que l’ostéoporose est un « voleur silencieux ». En effet, les os peuvent se détériorer pendant un certain nombre d’années, sans symptôme.
Toutefois, lorsque les médecins s’intéressent à l’ostéoporose, ils parlent des fractures associées à la maladie, qui selon l’ASPC, sont le principal défi en matière de santé publique.
Malgré les lignes directrices de pratique clinique sur l’ostéoporose et les conséquences connues de cette maladie, il existe un écart important entre les soins recommandés dans les lignes directrices et ceux prodigués dans la pratique. C’est ce qu’on entend par « écart dans les soins de l’ostéoporose »2.
Crise osseuse et crise cardiaque
Le rapport de l’ASPC qualifie la fracture de fragilisation ostéoporotique de crise osseuse2.
Pensons aux soins consécutifs à une crise cardiaque.
Qu’en est-il de la crise osseuse?